Fiction Boubou - « Rasengan ! »

« Rasengan ! »

Prologue :

Quand j'étais petite, je fus abandonnée dans un rue lugubre. J'avais peur et je pleurais toute les larmes de mon être en souhaitant la venu d'un sauveur. C'est alors qu'un homme avec une corpulence splendide, des cheveux d'un blanc pure et des yeux d'un noir perçant, me prit avec lui. C'est à partir de ce jour que mon existence commença pour la deuxième fois. C'était une seconde chance et j'allais croquer la vie à pleine dents.

Aujourd'hui je vis toujours avec cette homme, Jiraya-sama mais aussi avec mon demi-frère adoptif, Kakashi Hatake, âgé de vingt un ans et de ma demi-sœur adoptive, Aiko Tsuki, âgée de dix huit ans. Quand à moi, je me nomme Boubou Hasekawa et j'ai aussi dix huit ans.

Durant nos vacances scolaires notre tuteur nous a obligé à déménager avec lui pour des raisons professionnelles. Jiraya-sama est l'agent d'un groupe de chanteur, enfin bref, il travail dans le secteur du business. Certes, nous ne manquons de rien à part de sa présence, car son travail le monopolise de plus en plus nous laissant seuls. Mais le pire de tout, c'est que c'est notre baka de frère qui est chargé de nous ! Mais bon, nous allons lui en faire bave, de plus demain c'est la rentrée et nous sommes dans une toute nouvelle ville et un tout nouveau lycée.

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Chapitre 1 :

Comme tout les jours, Aiko et moi nous nous faisons courser dans toute la maison par notre baka de frère. Cette fois, ce n'est pas de ma faute ! C'est ma chère et tendre sœur qui lui a balancé une dose de lessive en bulle en pleine figure. Et comme par hasard il nous met dans le même bateau ! C'est honteux, moi je suis un ange, bon à part que la dernière fois, ce qui veut dire, hier, je lui ai fais une petite blague. Mais vraiment petite, j'ai juste coller ses vêtements sur des cintres, rien de bien grave.

Aiko : Boubou court ! Il nous rattrape ! (court)
Boubou : Je cours, je cours, t'inquiètes … (se casse la figure) pas.
Aiko : Aaah Boubou baka !
Boubou : Ne t'occupes pas de moi, sauves ta vie ! Il est de mon devoir de te protéger !
Aiko : (explose de rire) T'as encore regardé un drama toi !
Boubou : Ouai ! (rie)
Kakashi : Ah vous voilà enfin ! Je vais vous faire souffrir ! (sourire sadique)
Boubou : Aiko, je te protègerai au prix de ma vie !
Kakashi : T'as reçu un coup sur la tête ?
Aiko : Non, elle a encore regardé un drama. (part en courant)
Boubou : Sauves ta vie et celle de tes enfants ! (rie)
Aiko : (à l'autre bout de la pièce) J'ai pas d'enfant baka ! (rie)
Kakashi : (attrape Boubou) Toi, viens avec moi.

Pendant que mon idiot de frère me trainait par le col de ma chemise, je m'amusa à envoyer des messages à ma sœur avec mon téléphone portable. Je lui avais écrit que je prenais la châtiment du jour et que la prochaine fois elle devra me rendre ce service mais deux fois. Même pas deux minutes après, je reçu enfin la réponse. Elle avait écrit, qu'il était hors de question qu'elle fasse cela. Je me mis donc à hurler et Aiko me répondit à l'autre bout de la maison tout en gueulant.

Boubou : AIKOOOO ! Tu vas souffrir ! (hurle)
Aiko : Mais oui c'est ça ! Tu rêves ma pauvre fille ! (rie)
Boubou : Ah ok ! Tu verras par toi même si Sa-so-ri-kun débarque à la maison pour t'engueuler ! (rire de sadique)
Aiko : (rougit) C'est pas du jeu ! Je lui ai juste enfoncé des curly dans les narines quand il dormait ! Et tu as promis de ne rien dire !
Boubou : Les promesses sont rompus quand des actes des châtiments sont faites à la place des autres ! Niak niak ! (rie)
Kakashi : Vous avez pas fini de hurler ? Le vieux va bientôt rentré ! Et de toute façon Aiko n'a aucune chance avec Sasori, c'est un roux, il put et sa queue est empaillé ! (rie)
Aiko : BOUBOU !
Boubou : QUOI ?
Aiko : Il a dit quoi l'autre bouffon sur Sasori-kun ?!
Boubou : Oh rien de grave, juste qu'il avait une queue empaillé et qu'il puait ! (explose de rire) Ah oui, Kakashi, t'es mal barré. (sourit)
Kakashi : Pourquoi tu souris ?
Boubou : Pour ça ! (montre du doigt Aiko)

Je peux vous dire que Kakashi a dit quelque chose qui ne fallait pas. Si quelqu'un insulte, se moque ou regarde son cher Sasori-kun, bah, elle tue cette personne et dans d'atroce souffrance. Aiko arriva en courant sur Kakashi le percutant de plein fouet. Enfin bref, pendant qu'ils se battent, moi je peux tranquillement regarder mon drama tout en mangeant des pops corn. Mais ma tranquillité fut interrompu par la sonnerie du téléphone, je me leva et partie en direction de la cuisine pour décrocher.

[ BIP BIP BIP ]

Boubou : Résidence Jiraya.
… : C'est moi ma fille chérie !!!!
Boubou : J-Ji-sama ! Q-qu'est ce q-que tu veux ?
Jiraya : Oh juste pour dire que je ne renterais pas ce soir. Gomen Bou-chan.
Boubou : Encore le boulot je paris ?
Jiraya : Oui et crois moi, j'en suis navré. Je voulais vous prendre dans mes bras !
Boubou : Mouais ! C'est ce que tu dis, mais pourtant tes petites stars d'amours on plus d'affection de ta part que nous.
Jiraya : Ne dis pas ça !
Boubou : Hm !
Jiraya : Tu t'entendrais bien avec Sasuke, vous parlez de la même façon. (rie)
Boubou : Tu te fous de moi ? Et ton Sasuke tu te le fous ou je pense !
Jiraya : Ah énerves toi pas, t'as des rides qui ressorte à chaque fois.
Boubou : A ce que je sache, je suis plus jeune que Tsunade donc ça ne m'arrivera pas avant un bon bout de temps !
Jiraya : Je rigole Bou-chan. Dis tu peux me passer ton frère ou ta sœur ?
Boubou : Peux pas.
Jiraya : Pourquoi ?
Boubou : Ils sont en train de s'entre tuer.
Jiraya : Et tu ne fais rien ?
Boubou : Hé oh ! Je ne veux pas mourir ! Et de plus je ne me suis toujours pas rétablie de la dernière bagarre avec Aiko.
Jiraya : Bon, (souffle) je reviens alors. Dis leur que j'arrive.
Boubou : Pas la peine que tu reviennes, reste avec tes starlettes chéries !

[ TU TU TU ]

Je venais de raccrocher au nez de Ji-sama, pour qu'elle raison ? Simplement parce qu'il fait passer ses moucherons avant nous. Et de plus je les déteste tous avec leurs coupes gélifiées de gel ultra longue duré. Mais bon, je repartie dans le salon ou Kakashi était à terre et Aiko assise sur lui. Je vous jure c'est deux là, il y en a pas un pour rattraper l'autre. Je m'installa sur le canapé en m'allongeant de tout mon long. Quand Aiko m'interrogea sur le coup de téléphone.

Aiko : C'était Ji-sama ?
Boubou : Ouai.
Kakashi : Qu'est ce qu'il a dit ?
Boubou : Qu'il ne renterai pas ce soir.
Kakashi : Encore !
Aiko : Et ?
Boubou : Et rien, il m'a encore fait chier avec son Sa-su-ke-kun d'amour !
Kakashi : Tu vas voir il va te caser avec. (rie)
Aiko : (frappe Kakashi) Meurt esclave !
Kakashi : T'as pas de fouet donc je ne suis pas un esclave. (rie)
Aiko : Boubou ton fouet s'il te plait. (sourire sadique à Kakashi)
Boubou : C'est Deidara qui l'a.
Aiko : Hein ? Et pourquoi ?
Boubou : Aucune idée, il est peut être SM*. (rie)
Kakashi : Surement ! (rie)

Nous éclatons de rire tout les trois en imaginant Deidara en train de se fouetter tout seul. Vraiment hilarant ! Puis Aiko me poussa et je me mise assise pour qu'elle puisse s'installer sur le canapé avec moi. Ensuite Kakashi se leva du sol et se mit entre nous deux. Il faut dire que nous avons beau nous battre vingt quatre heures sur vingt quatre, cela nous empêche pas de nous aimer. Je posa ma tête sur l'épaule de mon frère et il déposa la sien par dessus, puis Aiko se coucha sur les genoux de Kakashi et nous regardions la télévision ensemble, sans aucun bruit. Nous nous endormons quelques minutes après, comme si un lien de sang nous reliaient, comme si nous étions vraiment frère et sœur. Malheureusement, il nous manque une personne pour que notre famille soit réunie et heureuse, notre père adoptif, Jiraya-sama.

Je me réveilla en sursaut, comme toute les nuits depuis trois semaines. Toujours le même cauchemar, celui ou je me trouve prisonnière de mon propre désespoir, ou je cours sans relâche à la recherche de cette personne. Mais qui est-elle au juste ? Un parent ou un simple souvenir ? Je regarda autour de moi et nous nous trouvons toujours dans le salon. Je me leva délicatement du canapé pour partir vers la cuisine. Je pris un verre dans le placard et y versa de l'eau. Je m'assois ensuite sur une chaise, la tête entre le main repensant à ce rêve. C'est à ce moment que la porte d'entrée s'ouvrit, laissant apparaître notre tuteur, notre père, Jiraya. Il me vis de suite me souriant puis s'approchant de moi. Il m'embrassa sur le front avant de s'assoir devant moi.

Jiraya : J'ai remarqué que depuis quelques temps, tu ne dormais plus tellement. Quelque chose te tracasse ?
Boubou : Non rien. Vas donc voir Aiko et Kakashi, ils seront heureux de te voir de si bon matin.
Jiraya : Tu as raison.
Boubou : J'ai toujours raison.

Mon tuteur se leva et partie dans le salon voir Kakashi et Aiko. Je me tourna ensuite vers la pendule et je pus constater qu'il était l'heure de se lever. C'est alors qu'un grand hurlement de Aiko retentit dans toute la maison. Comme à son habitude, dés qu'elle voit Ji-sama après une long durée d'absence, elle lui hurle dessus. Enfin bref, je me leva de ma chaise me prépara mon café et après l'avoir bu, je partie dans ma chambre. Aujourd'hui c'est la galère de chez galère, c'est la rentrée et je hais cette journée. En espérant que je sois en cours avec Aiko. Arriver dans ma chambre, je sortie une tenu décontracté pour la rentrée, juste un slim façon déchiré noir avec un haut long blanc ou une tête de mort noir honore le devant. Accompagner de converse noir et d'une coiffure à la vas vite et de quelques bijoux. Voilà, je suis prête pour une journée de malheur. Je pris ensuite mon sac de cours et m'installa sur une chaise dans la cuisine. Le yeux fermés je m'imagina mon entré.

Kakashi : (frappe dans le dos de Boubou) Alors la forme ?
Boubou : Aie ! Je vais te défoncer ta race !
Kakashi : Oula, de mauvaise humeur à ce que je vois.
Boubou : Ta gueule et laisse moi maudire les gens du lycée !
Kakashi : Je te signale que c'est un lycée de riche, il ne t'arrivera rien. (rie)
Boubou : J'ai un mauvais pré-sentiment donc voilà !
Aiko : (arrive dans la cuisine) C'est vrai que à chaque que Boubou a un pré-sentiment, il se réalise. (inquiète)
Kakashi : Pas faux.

C'est vrai que mes pré-sentiments se réalisent toujours. J'espère que se ne sera pas grave, et en espérant que les riches du lycée me foutent la paix. Sinon je les tue tous autant qu'ils le sont.

Aiko : Ah ! (regarde Boubou) Elle a des envies de meurtres. (rie)
Kakashi : (regarde à son tour Boubou) Euh, ne vaut mieux ne pas la faire chier. (rire jaune)
Jiraya : (arrive derrière tout le monde) Alors prêt pour cette journée ? (tout sourire)
Boubou : (regarde Jiraya) Ji-sama ! Tu manigances quelque chose ! Je sais pas quoi, mais j'en suis sur !
Jiraya : Mais non voyons, moi, faire ça à mes enfants chéris ? Jamais de la vie, je vous aime trop. (grand sourire)
Aiko : Il nous cache un truc, c'est sur. (souffle)
Kakashi : Ouai mais quoi ?
Jiraya : Mais rien je vous dis. Faites moi confiance. (sourit)
Boubou : Ji-sama, je te jure que je te tue si c'est une mauvaise blague !
Aiko : Hé Boubou, prépare la tronçonneuse ! (rie)
Kakashi : Je m'occupe des sacs en plastique pour mettre les morceaux. (rie)
Boubou : Avec plaisir ! (sourire sadique)
Jiraya : Bon, il est l'heure, je vous y emmène. (sourit)
Kakashi : On est mal barré. (souffle)
Aiko : C'est clair. (désespérer)
Boubou : Ji-sama arrêtes de sourire, tu me fous la chair de poule.
Jiraya : (rie) Bien-sur.
Aiko : Le bien-sur n'est pas rassurant.
Jiraya : Aller hop ! Tout le monde en voiture ! (sourit et rie)

Sous les ordres de Ji-sama, Kakashi, Aiko et moi partirent en direction du garage ou la voiture familiale résidait. Je hais cette voiture, elle est trop voyante, jaune canari avec avec un autocollant en forme de crapaud sur le capot. Nous montons à l'intérieur, Kakashi devant avec Jiraya et Aiko et moi à l'arrière. Sur tout le chemin, je regarda par la fenêtre, les paysages changèrent des champs de culture se transformèrent petit à petit par des immeubles de trente-six étages. C'est alors que la voiture se stoppa devant de grande grille couleur or, ou plus loin on apercevait les bâtiments scolaires.

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Quand la voiture se stoppa, tout les regards se posèrent sur notre véhicule. J'ai tellement honte, ainsi que Aiko et Kakashi. Heureusement pour nous que les vitres sont teintées à l'arrière, quand à Kakashi, il se cache le visage avec ses mains, le pauvre. Mais cela nous empêchent pas avec Aiko de se foutre de sa gueule.

Kakashi : Vous allez arrêter de rire ! (se retourne vers nous)
Aiko : Mais quoi ? On a bien le droit de rire ! (rie)
Boubou : (rie) Souris Kakashi, tout le monde t'admire !
Aiko : Han ! La t'es méchante ! (rie)
Boubou : Non, juste réaliste !
Aiko : J'avoue ! (explose de rire)
Jiraya : Que tout le monde descend, j'ai un coup de fil à passer. (sourit)
Kakashi : Cela ne nous étonne plus ! Encore avec ton boulot ! (sort de la voiture et claque la portière)
Jiraya : Kakashi !
Boubou : Sur ce point, je suis d'accord avec lui ! (sort et claque la portière)
Aiko : C'est notre rentrée et tu as l'esprit ailleurs. Tu n'aurais pas du venir, ça aurais fais la même chose. (sort et claque la portière)
Jiraya : Les enfants ! (souffle)

Maintenant que nous étions tout les trois sortit de la voiture, nous nous dirigeons vers les grilles sous les regards inquisiteurs des autres élèves. Mais pourquoi ils nous regardent, on est pas des gélifiés pourtant ? Enfin pour Aiko et moi, c'est sur, mais Kakashi, lui c'est un gélifié du cerveau. C'est alors que notre tuteur nous appela, Ji-sama était descendu de la voiture et il nous rejoignit avec un immense sourire.

Jiraya : (grand sourire) Ils arrivent ! Ils arrivent !
Boubou : De quoi ? Ils arrivent ? Les martiens ?
Kakashi : Je dirais qui.
Boubou : C'est la même chose.
Jiraya : Regardez là bas ! (montre un minibus)
Aiko : J-ji-s-sama ! T-tu veux pas i-ils … EUX ?!
Jiraya : Oui ! (grand sourire) Ils ont acceptés d'étudier ici cette année. C'est pas génial ?
Boubou : (grand choc) J-ji …
Jiraya : Oui, ma chérie ? (sourit) Tu es contente, n'est ce pas ?
Kakashi : Aiko, bouches tes oreilles. Boubou va hurler.
Aiko : Oups ! La goutte d'eau qui fait déborder le vase. C'est pas bon, mais vraiment pas bon !
Jiraya : Que veux tu me dire, ma chère Boubou ?
Boubou : J-JIRAYAAAAA ! (hurle)

D'un coup je sauta sur Jiraya et je l'étrangla le plus possible en le secouant dans tout les sens. C'est pas vrai, pas eux, pas les « Rasengan » ! C'est un cauchemar, juste un mauvais rêve. Je lâcha Jiraya et me tourna vers Aiko.

Boubou : Aiko, je t'en supplis mets moi une claque ! C'est un rêve !
Aiko : Tu es sur ?
Boubou : (désespérer) Oui !
Aiko : (grand sourire) D'accord.

Je ferma les yeux et je sentis une grosse baffe contre ma joue. Je sentis ensuite des picotements à l'endroit même ou elle m'avait frappé et j'ouvris les yeux.

Boubou : Aaaaaaah ! C'est pas un rêve !!!!!!
Aiko : Je t'avais prévenue. (rie)
Boubou : Ah oui, tu t'es entrainée à mettre des claques ces temps-ci ?
Aiko : Ouai, sur Kakashi, pourquoi ?
Boubou : Tu t'es améliorée, j'ai eu mal !
Kakashi : Et moi donc alors ! J'ai eu plus mal que toi ! (boude)
Aiko : Boubou, qu'est ce qu'on va faire ?
Boubou : J'ai besoin de réfléchir ! J'ai besoin … d'un carambar !
Kakashi : Tiens, j'en ai dans mon sac.
Boubou : Pas la peine, j'ai mon paquet à la barbe à papa.
Aiko : (les yeux qui pétillent) J'en veux, j'en veux !
Boubou : T'as pas besoin de réfléchir !
Kakashi : (rie) Elle sait pas réfléchir déjà.
Aiko : Aller, s'il te plait ! Je serais sage ! (regarde Kakashi) Tu perds rien pour attendre ! (sourire sadique)

Je posa mon sac à terre et farfouilla à l'intérieur à la recherche de mes carambars goût barbe à papa. Je trouva enfin le paquet et j'en pris un dans les mains. Je me releva mettant mon sac sur mon épaule et enlevant le papier du bonbon. Après avoir réussi l'exploit sans déchirer le papier, je mis le bonbon dans ma bouche, le laissant dépasser sur mes lèvres, telle une cigarette qui se consume. Je regarda le papier et le lu.

Aiko : Alors ? T'as une idée ?
… : Hey ! Ohayo Ermite pas net ! (sourit)
Jiraya : Ohayo gamin. (rie)
Naruto : (se retourne vers trois garçons) Hey les mecs, magnez votre cul ! (rie)
… : Hm !
… : Naruto, ton niveau intellectuel ne dépasse pas le mien donc évite de te la jouer avec moi.
Naruto : Oh Shika c'est bon, je rigolais.
Shikamaru : Pas moi. (baille)
Naruto : Hé Sai dis un truc au moins. (rie)
Sai : Je suis occupé à envoyer des messages.
Boubou : (marmonne) Cap ou pas cap de danser la techtonik que tu vois une personne avec du gel dans les cheveux.
Aiko : C'est ça ton idée ?
Jiraya : Les garçons je vous présente mes enfants chéris.
Les Rasengan : Ohayo !

Aiko venait de me parler mais je n'avais pas compris, je leva donc la tête vers elle et je remarqua les quatre stars du groupe de chanteurs « Rasengan ». De suite mes yeux se dirigèrent vers leurs cheveux, je passa l'emballage du carambar à Aiko pour elle le lit avant de faire de même avec Kakashi. Et en deux trois mouvement, nous nous sommes mit à danser la techtonik devant eux avant de partie en direction du bâtiment principal.

Shikamaru : C'est quoi leurs problèmes ?
Jiraya : Ils sont juste content de vous voir. (faux sourire)
Naruto : T'es sur ?
Jiraya : Pas tellement. (se gratte la tête)

Pendant que les autres étaient derrière avec Jiraya-sama, nous nous dirigeons vers le tableau d'affichage. Nous cherchons de suite nos noms et un grand malheur s'abatta sur nous ! Nous sommes tous séparés des uns des autres, dans trois classes différentes.

Kakashi : Nous nous verrons pendant le déjeuner. (faux sourire)
Aiko : NON ! C'est affreux ! Je veux pas être séparée de Boubou ! (boude)
Boubou : Moi non plus ! (frôle la crise cardiaque)
Kakashi : (explose de rire) Regarde Boubou, dans ta classe.
Boubou : De quoi ? (regarde le tableau)

Je me retourna pour la deuxième fois vers le tableau d'affichage et un hurlement abominable sortie de ma bouche. Je suis en enfer ! Dieu pourquoi cette malchance, pourquoi ce Sasuke Uchiwa est dans ma classe ? Je veux mourir !

Aiko : Boubou sa va ?
Boubou : (l'âme qui sort du corps) Ça va très bien. Je suis zen, je suis happy ! J'ai des ailes, et je vole.
Kakashi : Le méga choc pour Boubou. Tiens Aiko, toi aussi t'en a un dans ta classe. (rie)
Aiko : Hein ?! (regarde le tableau)

Même si j'étais en état de choc, je vis Aiko s'écrouler par terre tout en se roulant sur le sol. Quand je disais qu'elle était malade, c'était vrai ! Mais bon, je me tais, je suis aussi malade qu'elle.

Aiko : I love the sol ! Au clair de mon cul, mon ami le sol, prêtes moi du bitume, pour tuer une personne.
Boubou : Nous sommes des super guerriers de l'espace ! Allons sauver le monde des méchants Rasengan !
Kakashi : J'ai honte d'avoir des sœurs comme elles. Help me ! (désespérer)

Ma sœur et moi reprenons enfin nos esprits et je me retourna encore vers ce maudit tableau d'affichage. Mais je regarda plus précisément la classe de Kakashi et à cet instant j'explosa de rire, suivit de près par Aiko. Nous n'en pouvons plus, nous qui voulaient mourir parce qu'un des chanteurs de « Rasengan » était dans notre classe. Mais pour Kakashi, c'est pire ! Il en a deux pour le prix d'un !

Boubou : (explose de rire) Kakashi, tu sais quoi ?
Kakashi : Non quoi ?
Boubou : Aiko-chan, je te laisse lui annoncer la nouvelle. (sourire sadique)
Aiko : Avec plaisir Bou-chan. (rire sadique)
Kakashi : Mais quoi ? Qu'est ce qu'il se passe ?!
Aiko : Tu as les deux autres starlettes dans ta classe ! (explose de rire)
Kakashi : NON ! C'est pas vrai ! (regarde le tableau) NON !
Boubou : Manges un carambar, ça va te calmer. (rie)
Kakashi : Tu as raison, un carambar … carambar … ca-ram-bareuh !
Aiko : Le disque est railler.
Boubou : Ouai, dommage. Chiche on le laisse la ? (rie)
Aiko : Ah ouai ! (rie)
Kakashi : Ou allez-vous ?!
Aiko & Boubou : EN COURS !

Avec Aiko, je me dépêcha de courir et d'entrer dans le bâtiment. Nous sommes maintenant à la recherche de nos classes. Mais petit problème, c'est quoi nos classe ? On a pas regardé ! Nous sommes perdu, on va mourir ! C'est alors que nous entendons des bruits de pas s'approcher vers notre direction.

Fille 1 : KYAAAAA ! LES RASENGAN SONT DANS NOTRE LYCEE !!!!
Fille 2 : JE VEUX LES VOIR !!!! LES TOUCHER !!!
Fille 1 : SASUKE-KUN !!!!!
Fille 2 : SHIKAMARU-SAMA !!!

Quand nous avons aperçut ce petit groupie avancer comme des délurées en extase, je me colla contre le mur ainsi que Aiko. Mais elles sont malade ces deux fille, alias rouleau de PQ et serpillière ! Nous allons pour enfin repartir quand une voix m'interpella, je me retourna tout doucement, grinçant comme un robot qui était en manque d'huile.

… : Bou-chan ! (saute sur Boubou)
Boubou : Aaaaaaaah ! Au secours la pute à frange me colle ! Hein ? Quoi ? La pute à frange ? Deidara ?!
Deidara : Et ouai, c'est bien moi ! (grand sourire)
Boubou : Aaaaaaah ! Mon Dei-kun d'amour ! (au cou de Deidara comme un bébé) Tu m'as manqué.
Deidara : Toi aussi ma Bou-chan chérie. Aller viens, je t'emmène avec moi.
Boubou : Hein ? Ou sa ?
Deidara : Bah en cours par dit. Nous sommes dans la même classe. (grand sourire)
Boubou : OUAI !!!! (embrasse Deidara sur la joue)
Deidara : (rougit) Euh … Aiko, il y a Sasori qui doit arriver d'un instant à l'autre. Donc attends le ici. (sourit)
Aiko : (rougit fortement) S-Sasori-kun !
… : Oh la blondasse ! Tu aurais plus m'attendre !
Deidara : En parlant du loup, il est là. Pas trop dur les escaliers ? (rie)
Sasori : Je vais te tuer !
Boubou : (toujours au cou de Deidara) Pas touche ! Grrr !
Sasori : C'est donc pour ça que tu étais heureux tout à l'heure devant le panneau ?
Deidara : Ouai ! J'ai vu directement le nom de Boubou et je suis partie en courant pour la rejoindre. (grand sourire)
Aiko : (rouge comme une tomate) O-ohayo Sasori-kun.
Sasori : (remarque Aiko) Ah salut Aiko, je savais pas que tu étais la.
Deidara : Elle est dans ta classe, pivert ! (rie)
Sasori : Ah d'accord.
Aiko : (désespérer et marmonne) Pauvre moi.
Deidara : Bon allons en cours. A tout à l'heure Aiko-chan. A jamais le pantin pervers. (rie)
Sasori : Ouai c'est ça ! (rie) Va la poupée gonflable.
Aiko : A plus Deidara-kun, Boubounette tu vas me manquer !!!
Boubou : Toi aussi, ma Aikokinette !!!!

Toujours au cou de Deidara je me dirigea vers notre salle de classe, laissant Aiko avec son Sasori-kun d'amour. Nous étions enfin arrivé devant la salle et Deidara frappa à la porte.

… : Entrer !

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Après que la personne nous ordonna d'entrer, Deidara ouvrit la porte de la salle de classe. J'étais toujours dans ses bras comme une petite fille qui ne voulait pas lâcher son papa d'amour. Quand mon blond s'avança dans la pièce, tout le monde nous dévisagèrent, élèves comme professeur. Pour faire plus gamine, je mis mon pouce dans la bouche en faisant le bébé.

Professeur : Puis-je savoir qui vous êtes ?
Deidara : Je suis Deidara No Akasuna et voici Boubou Hasekawa.
Professeur : Boubou Hasekawa ? Une des filles de Jiraya-sama ?
Deidara : Oui, c'est bien cela.
Professeur : Bien, aller vous assoir tout au fond aux places de libre. Mademoiselle Hasekawa, veuillez cesser de faire l'enfant. (petit sourire)
Boubou : Areuh areuh ?
Deidara : (chuchote à Boubou) Tu pourrais me lâcher comme même, je ne vais pas m'envoler. (rie)
Boubou : (chuchote à Deidara) Jamais, je ne t'ai pas vu pendant plus d'un mois et tu voudrais que je te lâches ? Jamais !
Deidara : Au moins, c'est une réponse catégorique. (rougit)

Nous partons nous installer au fond de la classe comme nous avait conseillé notre professeur. C'est quand ma pute à frange m'installa sur une chaise que je sentis une présence malsaine. Deidara s'installa à mes côtés pendant que je regardais partout et mes yeux tombèrent sur un cauchemar.

Professeur : Bienvenue à tous dans cette établissement, je me présence comme votre professeur principal et de mathématiques, Asuma Sarutobi. Asuma sensei pour faire plus court. (rie)
Boubou : HEIN ?!!!! Il est hors de question que je m'assois à côté de ce gélifié !
Asuma : Que se passe t-il au fond ?
Boubou : Je veux changer de place ! Ou sinon vous le faite dégager d'ici ! (montre un brun)
Asuma : Monsieur Uchiwa, un problème ?
Sasuke : Aucun.
Boubou : Moi j'en ai un !
Asuma : Mademoiselle Hasekawa, il n'y a aucune autres places de libre.
Boubou : Pas grave ! Je m'assois sur Dei-kun ! (se tourne vers Sasuke et lui tire la langue)
Sasuke : Hm ! (regarde de travers Boubou)
Deidara : (regard méchant à Sasuke) Boubou, viens à ma place.
Asuma : Je vous interdis de changer de place ! Mademoiselle Hasekawa, asseyez-vous entre monsieur Uchiwa et Akatsuna.
Boubou : Pfff ! (boude)

Durant toute la première heure de cours, je ne m'exprima point. Être à côté de l'autre star me démoralise et sa m'énerve ! Vivement que la deuxième heure passe et en vitesse ! En plus, je ne comprends rien aux mathématiques et surtout à cet exercice de malheur ! Transformer la formule suivant en (f'x)*

Boubou : Ça m'énerve ! Deidara aides moi s'il te plait ?
Deidara : Zzzzz (dort)
Boubou : (désespérer et à voix basse) Baka.

Deidara dormait la tête sur la table et ses bras autour. Il faut avouer que quand Deidara dort, il ressemble à un ange et son visage est serein. Je lui releva une mèche et je me remis sur mon exercice. Mais j'avais beau me concentré, je n'y arrive pas !

… : Tu dois inverser x² avec 1x².
Boubou : Hein ?

Je me retourna vers la personne qui venait de me parler et je découvris le Uchiwa à cinq centimètre de mon visage. D'un coup je me sentis gêne et je me leva de ma chaise en levant la main. Le professeur m'interrogea.

Asuma : Oui, Hasekawa ?
Boubou : J-je peux aller au toilette, s'il vous plait ?
Asuma : Cela attendra la sonnerie.
Boubou : Mais …
Asuma : La fin du cours est dans deux minutes donc vous attendrez.
Boubou : Pfff !

Je me rassois sur ma chaise tout en soufflant de désespoir. Je sentis le regard perçant de Sasuke sur tout mon être. Jusqu'à ce que la sonnerie de fin de cours retentisse. Je me leva d'un coup de ma chaise prête à partie mais je me pris les pieds dans ceux de Deidara et nous nous retrouvons sur le sol. Toute la classe éclata de rire comme si nous étions des bêtes de foire. Je me releva aidant Deidara à se relever. Nous éclatons de rire nous aussi, car ce n'était pas la première fois que cela nous arrivai.

Deidara : On va manger ? (sourit)
Boubou : (bave) Manger !
Deidara : Allons-y ! (rie)
Boubou : OUAI ! (grand sourire)

Bras dessus, bras dessous avec Deidara, nous nous dirigeons vers la cafétéria. Mais avant, nous nous stoppons à l'endroit de ce matin, attendant ma sœur et son amour de Sasori. C'est au bout de cinq minutes que nous les apercevons, Sasori en riant et Aiko faisant la tête. Ma sœur me sauta dessus, et me prit dans ses bras.

Aiko : Boubou c'est affreux !!!!
Boubou : Plait-il ?
Aiko : Le professeur m'a mit à côté de « phone-man » !
Boubou : Euh « phone-man » ?
Aiko : La starlette Sai machin truc bidule !
Boubou : Euh ouai ?
Aiko : Mais t'es une plaie !
Boubou : (regarde partout) Ou ça, un bais ? A manger ? OU ?
Aiko : (frappe Boubou) Je te parle du mec de « Rasengan » !
Boubou : Ah oui ! Gomen Aiko-chan ! (se gratte la tête)
Deidara : Bon allons casser la croute, Boubou meurt de faim. (rie)
Boubou : Je ne meurs pas de faim ! (boude)
Sasori : Non, c'est seulement notre imagination. (rie)
Boubou : Tout à fait !
Sasori : Mais oui. (rie)
Boubou : Aiko, fais le taire, sinon je le castre. (sourire sadique)
Aiko : B-boubou ! Non !
Deidara : Allons manger ! Moi, j'ai faim !
Boubou : Moi aussi, je meurs de faim ! (part)
Sasori : Désespérante cette fille.
Aiko : Boubou attends moi !!!! (cours après Boubou)

Nous partons enfin en direction de la cafétéria, en riant et en blaguant sur tout et n'importe quoi. Sur le chemin, nous croissons avec regret le groupe de chanteur « Rasengan ». Sans leur prêter attention, nous continuons notre destination. Mais je fus un peu surprise par la réaction de Deidara et de Sasori. Pourquoi regardent-ils les starlettes avec des regards de haine ? Nous arrivons enfin à la cafétéria, toujours les gélifiés à nos baskets. Nous choisissons enfin nos repas et nous partions à l'extérieur dans un coin tranquille pour les déguster. C'est alors que nous tombions sur Kakashi, notre baka de frère ainé, assit dans l'herbe.

Kakashi : (fait signe) Yosh ! (sourit)
Aiko : (saute sur Kakashi) Oni-san !!! (fait semblant de pleurer)
Kakashi : Que se passe t-il ? (inquiet)
Aiko : (prend un air sérieux) Bou-chan est morte.
Boubou : (frappe Aiko) C'est toi qui va mourir.
Aiko : (rie) Même pas peur !
Kakashi : Alors, votre matinée ? (sourit)
Aiko & Boubou : L'enfer !
Kakashi : A ce point ?
Boubou : Ouai ! Je suis assise à côté du « hm » !
Aiko : Et moi à côté du « phone-man » !
Kakashi : Ne vous plaignez pas, moi je suis entre l'ananas et le sous-doué.
Boubou : (explose de rire) Aiko, ne pleurons plus sur notre sort, mais rigolons du sien !
Aiko : Trop ! (explose de rire)
Kakashi : Boubou ! Aiko ! (se lève et court après les deux filles) Vous allez voir !
Aiko & Boubou : (les bras en l'air et court en rond) Aaaaaaaaah !

Avec Aiko, nous courrons comme à notre habitude tout en rigolant. C'est trop facile de le mettre dans cet état, juste une blague ou un reproche à lui faire et il nous court après. Franchement, Kakashi est vraiment très doué pour perdre patience. Dommage que Ji-sama ne soit pas comme ça, on rigolerait plus. Mais bon, c'est en courant que l'on grille des calories ! Même si nous avions pas encore dévoré notre déjeuner. A force de rire, je me pris les pieds dans une racine et me cassa la figure suivit de ma sœur qui s'étala sur moi et de Kakashi qui nous écrasa comme des crêpes. Mais le pire, c'est Sasori et Deidara ! Tout les deux sautèrent sur le tas, nous aplatissant comme jamais. Et une bagarre commença.

Aiko : Qui m'a touché le cul ?!
Boubou : Pas moi ! (rie)
Aiko : (frappe Boubou) Je le sais bien. Qui ?
Boubou : (des sueurs froide) C'est la main de qui ça ?!
Deidara : (regarde) Aaaaah ! Sasori ! On c'est trompé ! (recule)
Sasori : (recule) Oups, je croyais que c'était Aiko. (gêner)
Deidara : Et moi Boubou. Gomen Aiko-chan. (terrifié)
Kakashi : QUOI ?!!! V-VOUS ?!!! QUOI ?!!!!

Les deux garçons reculèrent de plus en plus de peur que Kakashi ne leur tombe dessus, que se soit au sens propre ou au sens figuré. C'est vrai, avec Aiko, nous avions oublié que Kakashi est un frère très protecteur envers nous, si quelqu'un nous touche ou il ne faut pas, il s'énerve. C'est à ce moment que j'éclata de rire comme jamais avec ma frangine.

Boubou : Aiko (rie) on mange ? J'ai faim.
Aiko : Ouai, moi aussi. (rie) Laissons les s'avouer leurs amours !
Boubou : (rie) C'est sur ! Han ! Un Sasori x Deidara ! (bave)
Aiko : Ah non ! Pas Sasori ! Un Deidara x Kakashi ! (bave)
Boubou : (choquer) Je veux pas voir des horreurs !
Aiko : Ah oui, je n'y avais pas pensé. (rie)

Nous mangeons enfin notre repas, depuis le temps que je mourrais de faim ! Je dévora tout ce que j'avais pris en moins de deux minutes. J'avais une sacrée faim, ainsi que Aiko qui elle finissait son fameux dessert, la tablette au chocolat. Elle m'en proposa un morceau que je refusa de suite ! Aiko qui propose son chocolat ?! Après elle me tue ! Personne n'a le droit de lui en prendre même si elle le propose. C'est alors que les trois garçons arrivèrent enfin.

Deidara : Vous avez déjà tout bouffé ?!
Sasori : T'as oublié que se sont des goinfres. (rie)
Boubou : (parle à Deidara) Ah oui, j'avais une question. Comment se fait-il que vous soyez ici au lieu d'être à Suna ?
Deidara : (parle à Boubou) Jiraya-sama nous à proposé d'emménager dans un de ses appartements en échange de suivre les cours ici à Konoha avec vous et de vous protégez.
Boubou : Protéger de quoi ?
Deidara : Aucune idée. (hausse les épaules)
Aiko : (lance son sac en pleine figure de Sasori) Toi fais gaffes ! (rie)
Sasori : Pourquoi t'as fais ça ?!
Aiko : Comme ça !
Sasori : C'est pas une réponse ! (part)
Aiko : Ouai ! Pars rejoindre tes amis les curly !
Sasori : (se stoppe et se retourne façon robot) Comment tu sais pour les curly ?
Boubou : Han la gaffe ! Aiko t'es trop con ! (rie)
Sasori : Toi aussi tu le savais ?
Boubou : Euh non, je ne sais rien, je ne suis rien, je … Aaaaaah ! (part en courant)
Aiko : Boubou attends moi !!!
Boubou : Court Aiko ! Le homard mutant des mers arrive !

Nous courrions aussi vite que possible avec Sasori à nos traces. Il faut avoué que ce jour là, personne ne lui avait révélé le coupable et le traite de cette histoire. Cela c'était passée dans notre ancienne ville, le jour de la fête d'anniversaire à Sasori. Il s'était endormit sur le canapé et avec Aiko, nous avions fait un pari. Le but était d'enfoncer des curlys dans les narines de Sasori, sans qu'il sent rende contre. Et ma baka de sœur avait réussit haut la main cet exploit. Et maintenant, nous voilà en train de courir pour sauver notre peau ! Nous courrions encore et encore quand nous nous prenons de plein fouet deux personnes. Aiko et moi, nous nous retrouvons propulser contre le sol avec une telle violence que je sentis mes os se craquer sous la chute. Je relava la tête et dévisagea les coupables. Mon regard tomba sur celui d'un homme colossal à trait de catcheur avec une chevelure rousse. Le rouquin était accompagné d'un autre homme avec une boisson dans la main. Tout les deux affichèrent des sourires de sadique.

… : Les filles Jiraya, je présume ? (rie)
… : (arrive) Que se passe t-il ?

Je poste mes chapitres dés leurs sorties sur skyrock

Vous en pensez quoi, sinon ?
Par contre, j'aurais une petite question ....
Qui voudrais apparaitre dans ma fiction ?
Si il y a des gens, vous apparaiterez au chapitre 8.
J'attends vos réponses pour le continuer

J'adoreeeeeeee!!!!!!!!!

pour utiliser mon nom tu peut miss fait comme moi te casse pas la tete on est tous dac ^^

merciiiiiii *^*
Ma soeur apparaitera oh yeahhhh ^^

Boubou a écrit:merciiiiiii *^*
Ma soeur apparaitera oh yeahhhh ^^

C'est un plaisir d'aider ma soeur

Chapitre 4 :

Pendant que le rouquin s'approchait de nous avec son ami, tout un groupe de jeune lui bloqua le passage. Avec Aiko, je reconnue de suite les visages des personnages, c'était les « Rasengan » ! Sous le choc nos bouches s'ouvrir et nous étions bouche bée. Puis Deidara, Sasori et Kakashi arrivèrent en même temps et en nous dévisageant.

Kakashi : (souffle) Qu'est ce que vous avez encore fait ?!
Aiko : Mais rien ! Pour une fois …
Kakashi : Pour une fois ? Ce qui signifie que les dernières fois, c'était fait exprès ?
Aiko : (rie) T'as tout compris mon frère !
Boubou : (à voix basse) Je le croyais plus bête.
Kakashi : Boubou, je t'ai entendus. (désespérer)
Boubou : (parle fort) Ton intelligence me surprend !
… : C'est quoi le problème avec elles ?
Deidara & Sasori : (en colère) Elles ! Elles ont des prénoms !
… : Je crois de ne pas vous avoir donner l'autorisation de parler.
Sasori : Retiens moi, sinon je le bute ! (s'approche)
Boubou : Hé ! Saso, c'est ma réplique ! (rie) Copiteur !
Deidara : Pas la peine, je vais t'aider ! (s'approche)

Sasori et Deidara s'approchèrent des « Rasengan », mais surtout de la tête d'ananas. Il se prend pour qui lui ? Le parrain de la mafia ? Mais après un échange de regard entre eux, les deux garçons partirent en soufflant et en rechignant. Quand à Kakashi, je le vis prendre Aiko de force sous son bras et il me lança un regard noir. Pourquoi ? J'ai rien ! Mais bon, l'ambiance est tellement intéressante que je me relève pour me poser contre le tronc d'un arbre. J'observais la scène, j'allais faire une entrée fracassante. Pendant ce temps, le rouquin et son acolyte disparurent au fin fond de la cour.

… ; Qu'est ce que t'as a nous regarder ?!
Boubou : (prend une voix grave avec un accent) Hé petit, tu connais le parrain ? Non ! Je suis le parrain, alors fermes ta putain de gueule et respecte le parrain. C'est comprit ?
… : Mais qu'est ce qu'elle raconte ? Je comprends rien.
… : C'est normal, Naruto, vu ton niveau d'intelligence.
Naruto : Ouai c'est vrai, monsieur Shikamaru, possède un QI de 160.
Shikamaru : Tout juste et la conclusion est que c'est une baka. (regarde Boubou avec un sourire narquois)
Boubou : (explose de rire) Si tu crois me mettre en pétard avec ça, tu te fous le doigt dans l'œil.
… : Elle a du répondant. (rie)
Naruto : Tiens Sai, tu lâches ton portable ? Enfin. (rie)
Sai : Ah ah ! Retourne dans tes pornos Naruto !
… : Vous voyez pas qu'elle se fout de votre gueule ?
Shikamaru : Sasuke n'a pas tord, elle se moque de nous !
Naruto : C'est pas parce que c'est la fille de l'ermite par net qu'elle … (se prend une claque par Boubou)

Dés que cet enfoiré de Naruto avant prononcé « ermite pas net » en parlant de Ji-sama, je ne pus m'empêcher de lui coller ma main sur sa figure. Je le regarda avec un regard de haine, comme pouvait-il nommer ainsi Jiraya, alors qu'il sacrifie sa famille pour eux ! Comment ?

Naruto : (choquer) P-pourquoi tu as fais ça ?
Sai : (rie) T'as eu mal ?
Naruto : Ouai et pas qu'un peu !
Sai : C'est bien ! (rie)
Naruto : Bah pourquoi ?
Sai : J'ai rien sentis. (rie)
Boubou : (regarde Naruto dans les yeux) N'ose même pas appeler Ji-sama de cette manière ! Il nous laisse pour vous, il s'inquiète pour vous à chaque seconde, et tu l'insultes ! Je ne te le pardonnerais jamais. Il chéri plus ses starlettes que ces enfants. Nous le voyons jamais parce qu'il est toujours avec vous ! Je vous déteste ! (part)
Sasuke : C'est ce que je pensais.
Shikamaru : Comment ça ?
Sasuke : (rie) Tu as beau avoir un QI de 160, mais tu ne comprendras jamais ce que ressent les autres. Mister Shikamaru-sama.
Naruto : Elle nous hait ? Mais pour quelle raison ?
Sasuke : Naruto, tu es con ou tu le fais exprès ?
Sai : Il est con. (rie)
Shikamaru : Qu'est ce que tu veux dire, Sasuke ?
Sasuke : Elle nous hait parce que nous avons Jiraya à nous seul et que eux, ils ne l'on pas.
Naruto : J'ai toujours pas compris.
Sasuke : Pfff, pour faire plus court, elle a peur de se retrouver seule.
Les 3 autres : (silence) …

Je marchais les poings serrés comme jamais, j'étais énervée comme pas permis. Franchement, je ne les aimerais jamais ! Ils sont odieux, égoïste et j'en passe. J'entendis la sonnerie de début de cours d'après midi et je partis en direction de la salle de classe. Arriver devant, j'ouvris avec fracas la porte et toutes les têtes des élèves se tournèrent vers moi avec des regards inquisiteur. Deidara avait déjà reprit sa place, je m'installa à côté de lui tout en soufflant. C'est la que le Uchiwa arriva lui aussi dans la classe. Et cette fois tout le monde le regarda avec des yeux pétillants, juste parce que c'est une star. Il passa derrière moi avant de s'assoir sur sa chaise.

Deidara : Qu'est ce qui c'est passé ?
Boubou : Rien ! (énerver)

La porte se ré-ouvrit et se fût un jeune homme d'une vingtaine d'année qui entra dans la pièce. Il s'installa au bureau et il se présenta devant nous tous. Il était assez jeune et avait des cheveux marron ainsi que ses yeux. Mais quand il révéla son identité, je fus stupéfaite ainsi que Deidara. Nous connaissions cet homme de nom, il était assez célèbre dans notre ancien établissement scolaire.

Professeur : Ohayo mina san ! (grand sourire) Je suis Kankuro No Sabaku et je suis votre professeur d'histoire géographie et de français. Enchanté de vous connaître.
Deidara : K-kan-sempai ?
Boubou : C'est pas vrai ? Kanku-sempai !!
Kankuro : Je vois que certain d'entre vous me connaisse. (sourit) Quel est votre nom ?
Boubou : Hasekawa Boubou.
Deidara : Akatsuna Deidara.
Kankuro : Akatsuna ? De la famille de Sasori Akatsuna ?
Deidara : Oui, je suis son frère adoptif.
Kankuro : Je vois. (sourit) Nous en reparlerons après le cours. Aujourd'hui, nous allons parler de la guerre du Golfe de 1990 à 1991. Qui peut m'expliquer ?

La guerre du Golfe est un sujet assez facile, de plus je connais parfaitement ce thème. Je l'avais déjà étudié avec Jiraya-sama. Il faut dire que même avec nos cours au lycée, Ji-sama nous donnait des cours en plus avec des professeurs particuliers. Un garçon leva la main et Kankuro l'interrogea.

… : (rie) La guerre du Golfe c'est passé sur un terrain de golf. D'où le nom Golfe.
Kankuro : Je vois qu'il y a un plaisantin dans cette classe. Mais non, tu as tords. Quel est ton nom ?
… : Inuzuka Kiba.
Kankuro : Bien, monsieur Inuzuka, vous aurez un exposé à me faire sur la guerre du Golfe.
Kiba : Quoi ?
Kankuro : Vous avez bien entendus. Bon, qui peut me répondre et sérieusement ?

Wouah ! Je le trouve trop bien ce prof ! Au moins un professeur qui sait faire son devoir. Vu que personne ne levait la main, je me désigna. Kankuro me regarda avant de m'autoriser à prendre la parole.

Boubou : La guerre du Golfe, dite aussi deuxième guerre du Golfe ou guerre du Koweit, est un conflit qui opposait l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de trente quatre États, soutenue par l'ONU entre 1990 et 1991. La victoire prévisible de la coalition entraîna la libération du Koweit dont l'invasion en 1990 par l'armée irakienne avait provoqué le déclenchement du conflit.
Kankuro : C'est très bien. (stupéfait) Vous avez déjà eu ce sujet ?
Boubou : Oui, en quelque sorte.
Deidara : (rie) Tu cachais ton cerveau en réalité.
Boubou : Et ouai ! (rie)

C'est vrai que je garde mon intelligence pour moi. J'aime pas trop me prendre pour une intello, mais quand il le faut, je fais certain effort. Le cours continua dans une ambiance sérieuse, même Deidara ne s'était pas endormit. Les deux heures d'histoire passèrent assez vite à mon goût. J'adore l'histoire, c'est pour cela. La sonnerie de la pause retentit mais le professeur nous ordonna de ne pas encore quitter la salle.

Kankuro : Après cette pause, j'aimerais que vous reveniez au plus vite pour remplir un questionnaire sur la culture général. En quelque sorte, évaluer vos connaissances. Vous pouvez sortir. A tout de suite.

Et tout le monde quitta la classe pour partir en récréation. Avec Deidara nous parlions de ce fameux questionnaire. Sera t-il dur ou bien facile ? Et pourquoi évaluer nos connaissances ? Puis Aiko et Sasori, nous rejoignit de suite.

Aiko : Le prof nous donne un questionnaire à remplir.
Deidara : Nous aussi.
Sasori : J'espère y arriver, car pour être franc, je suis vraiment nul dans mes études. (souffle)
Deidara : Et moi alors ?
Boubou : Rho, vous allez y arriver, j'en suis sur. (rie)
Deidara : Parles pour toi.
Sasori : Pourquoi ?
Deidara : Il s'avère que Boubou possède un cerveau ! (rie)
Sasori : Non, c'est vrai ? (rie) Mais en y repensant, Aiko aussi.
Aiko : Bah désoler monsieur Sasori, si notre éducation n'est pas au même niveau que la votre. (rie)
Deidara : C'est vrai que Ji-sama vous a fait une éducation assez difficile.
Boubou : Ouai mais bon, au moins on est moins con que certaine personne. (rie)
Aiko : C'est clair ! (rie)

La sonnerie retentit une seconde fois et je me dirigea vers la salle de classe. Assisse à ma place, et quand tout le monde était présent, Kankuro sensei distribua les questionnaires. Une fois les questionnaires distribué, je remarqua avec stupéfaction, qu'il s'agissait d'un bloc de plus de trente pages.

Kankuro : Vous avez deux heures pour faire le questionnaire. Vous pouvez commencer !

J'ouvris la première page et le sujet fût sur la science. Puis, je regarda la seconde et ainsi de suite. Je releva la tête par surprise, je connaissais toutes les réponses. Je me mis donc à écrire les réponses, les unes après les autres, jusqu'à ce que le bloc tout entier soit terminé. Je regarda ensuite ma montre et je remarqua que j'avais fini en une heure et vingt cinq minutes. Je leva la main et le professeur m'interrogea.

Kankuro : Que se passe t-il, Hasekawa-san ?
Boubou : J'ai fini.
Kankuro : Déjà ? (étonner)
Boubou : Oui.
Kankuro : Vous avez relut ?
Boubou : Pas la peine, je suis sur de mes réponses.
Kankuro : Je vais prendre vos copies.

Kankuro sensei ramassa mes feuilles et il repartie à son bureau tout en lisant mes réponses. Puis je le vis sortir un dossier, surement le corriger. Pendant que la suite de l'heure s'écroule, je m'amusa à dessiner sur une feuille. Je vais faire une petite représentation de Deidara, en espérant que l'heure tourne plus vite. Le dessin fini, je leva la tête et aperçus Kankuro avec une expression d'étonnement. Qu'est ce qu'il y a ? J'ai fais des fautes ? Mais bon, la fin de l'heure sonna enfin et je me leva, quittant la pièce suivit de Deidara. Nous étions maintenant dans la cours accompagnés par Aiko et Sasori. Aiko aussi avait fini la première et avait su toutes les réponses au sujet.

Aiko : Je te jure ! Je me suis étonnée moi même ! J'ai réussis à répondre à tout !
Boubou : Moi aussi, et j'ai trouvé les questions assez simple.
Sasori : Bah pas moi ! J'ai rien compris à ce charabia ! (boude)
Aiko : Boudes pas, t'es moche quand tu fais la gueule. (rie)
Sasori : Merci du compliment.
Aiko : De rien, c'est gratuit.
Boubou : Et toi Dei ?
Deidara : Bof, j'ai su des choses mais j'ai du faire quelques erreurs.
Boubou : T'inquiètes pas, je suis sur que tu auras une bonne note. (rie)
Deidara : J'espère aussi.
Boubou : Une note équivalente à ton intelligence ! (rie)
Deidara : C'est drôle mais je mis attendais à cette remarque. (rie)

Nous continuons à marcher et arriver à la grille le minibus des starlettes nous klaxonna. Pourquoi ? Puis le chauffeur descendit et nous interpella. Je reconnus Orochimaru-san et je commença à partir dans une autre direction.

Orochimaru : Hasekawa-sama ! Revenez ici !

.................................................

Chapitre 5 :

Même si Orochimaru-san m'avait appelé, je partie comme même dans une autre direction, presque en courant ! Il est hors de question que je monte en voiture avec lui. C'est un malade !!!

Orochimaru : Je dois vous raccompagnez sous ordre de Jiraya-sama.
Boubou : Jamais !
Orochimaru : Hasekawa-sama ! Veuillez monter !
Boubou : T'as vu mon œil ? (fait une grimace)
Orochimaru : Veuillez arrêter, je déteste cela !
Boubou : Je sais ! (rie) Hé hé ! Orochimaru-san, regarder mon œil ! (fait les yeux blanc)
Orochimaru : S'il vous plait !
Kakashi : Boubou ça suffit. (souffle) Montes s'il te plait.
Boubou : Euuuh … nan ! Pas sans mon Dei-kun d'amour ! (rie en silence)
Orochimaru : J'ai reçu l'ordre de raccompagner messieurs Akatsuna à leur domicile.
Boubou : Apocalypse ! (baisse la tête)
Deidara : Aller viens. (rie) Tu viens dans les bras de papa ? Aller viens mon bébé.
Boubou : (boude) Juste parce que c'est toi.

Je marcha la tête baissé jusqu'à Deidara, qui me prit ensuite dans ses bras. Bon, je sais que j'agis comme une enfant de deux ans mais, j'ai pas envie de mourir à cause de l'autre serpent à sonnette ! Puis tout le monde monta dans le minibus. Les « Rasengan » se trouvaient tout au fond du véhicule, quand à nous, nous nous mettons à l'avant. Deidara me posa sur un fauteuil et il s'installa à mes côtes. Je posa ensuite ma tête sur son épaule, tout en fermant les yeux. Mais quand le véhicule démarra, je me cramponna à Deidara et par la même occasion, je vis Aiko faire de même avec Sasori.

Sasori : AH Aiko ! Lâches moi ! Tu vas pas mourir !
Aiko : SI ! ON VA TOUS CREVER !!!!
Deidara : Boubou, ça va ? Tu es blanche.
Boubou : C-c'est n-normal !
Sasori : Qu'est ce qu'elles ont ?
Kakashi : Ah oui, vous êtes jamais montés en voiture avec Orochimaru-san.
Boubou : C-c'est un m-malade !!
Aiko : JE VEUX MOURIR ! AAAAAH !
Sasori : Aiko ! Calmes toi !
Deidara : A ce point ?
Kakashi : Pour elles … oui. (désespérer)
Boubou : P-pourquoi d-dieu est-il contre nous ?! P-pourquoi ?!
Aiko : JE VAIS ME SUICCIDER !!!! PASSES MOI UNE FEUILLE, BOUBOU !!!

Le minibus commença à avancer tranquillement tout en suivant la route. Avec Aiko, nous étions toujours accrochées aux garçons. Tout le monde se foutait de notre gueule, mais quand le véhicule prit un virage, des hurlements s'entendirent à l'arrière.

Naruto : ON VA MOURIR !!!! (pleure)
Sasuke : MAIS IL EST MALADE CE MEC ! (s'énerve)
Shikamaru : Zzzzz (dort)
Sai : Arrêtez de gueuler, j'arrive pas à me concentrer sur mon message.
Boubou : (à l'autre bout du minibus) Rien à battre de tes messages !!!!
Deidara : Boubou-chan je t'aime !
Sasori : Ça y est la poupée gonflable vient de faire sa déclaration. (rie) Alors Boubou, le vers dicte ?
Boubou : JE M'EN BAS LES COUILLES ! JE VEUX PAS MOURIR !!!!
Sasori : Aiko-chan, un commentaire ?
Aiko : (s'énerve) Je vais te faire bouffer tes commentaires le pantin pervers de mes deux !
Sasori : Qu'elle belle réponse de la part de Aiko Tsuki ! (rie)
Kakashi : Saso, tu vas te retrouver la gueule dans le carreau tout à l'heure, alors viens pas te plaindre. (rie)
Boubou : C'est toi qui vas te prendre le carreau ! Face de vieux aux poils blanc !
Kakashi : (retiens sa colère et faux sourire) Boubou, retires ce que tu viens de dire sur mes cheveux.
Boubou : JAMAIS !!!!
Naruto : C'est quoi ce bordel ?!
Kakashi : Fermes ta gueule le sous-doué ! (s'énerve) Boubou !!
Sai : Ah mais vos gueules !
Aiko : Toi vas te faire greffer un tél dans tes mains !

D'un coup sec, le minibus se stoppa avec un grincement de pneu. Orochimaru-san se tourna vers nous et il nous dévisagea. Le serpent ouvrit ensuite sa bouche et au lieu de laisser une voix douce et moche sortir de sa bouche, un hurlement de colère s'entendit à faire vibrer les vitres.

Orochimaru : MAINTENANT ÇA SUFFIT !
Boubou : On est arriver ?
Orochimaru : Non !
Boubou : Alors roules !
Orochimaru : Je repartirais quand vous serrez tous calmés !
Boubou : Ouai, bah je me casse !

J'ouvris la porte du minibus et j'en descendis de suite. Je préfère marcher dix kilomètres que de remonter avec ce serpent visqueux. Puis, Aiko, Kakashi, Deidara et Sasori descendirent à leur tour, laissant comme seul passagers, les starlettes de « Rasengan ». J'entendis Orochimaru-san nous appeler à plusieurs reprises, mais personne ne se stoppa. Puis je me tourna vers Deidara.

Boubou : Pourquoi t'es la ?
Deidara : Je suis ton meilleur ami.
Aiko : (fait la con) Nan ! C'est vrai ? Je croyais que tu étais notre baby-sister ! (rie)
Boubou : (se gratte le menton) C'est vrai que avec ses cheveux on aurai la fâcheuse intention de le prendre pour une fille. (rie)
Deidara : Alors la, Boubou, c'est petit ! Mais vraiment petit.
Sasori : (rie) C'est petit, mais ça fait rire.
Kakashi : Bon, on continue de marcher jusqu'à la maison ou on remonte dans le bus ?
Boubou : (regarde de travers Kakashi) Va crever !
Aiko : (fait craquer ses doigts) Tu veux mourir dans d'affreuse et mystérieuse souffrance ?
Kakashi : Euh non c'est bon. (gêner et peur) J'ai compris.
Orochimaru : Attendez !!! S'il vous plait !
Boubou : (se retourne et fait un fuck) Piger ?!

Tout le monde fut étonnés par mon geste. Bah quoi ? Il m'énerve ce mec, et pas qu'un peu. Je repartie en marchant plus rapidement mais mon téléphone sonna dans ma poche. Je le sortis et regarda l'expéditeur de l'appel, Ji-sama. Je me figea de suite, et je décrocha pour enfin répondre à l'appel. Je ne décrocha pas un mot, seulement ma respiration faisait entendre que j'étais présente.

[ BIP BIP BIP ]

Jiraya : Pourquoi tu n'es pas dans le bus avec les autres ? (voix douce)
Boubou : (met une main devant sa bouche) Crouch crouch je suis ton père …
Jiraya : Tu sais que quand tu renteras à la maison, tu seras punis. (sourit derrière le téléphone)
Boubou : Bonjour, je ne suis pas la pour le moment, veuillez laisser un message après le bip sonore. Bip !
Jiraya : (rie) Bou-chan, c'est ton père, c'est pour te dire que si tu ne te dépêches pas à rentré à la maison, tu n'auras pas de lasagne ce soir. Sur ce, à tout de suite ma chérie.

[ TU TU TU ]

A l'entente de ce mot j'écarquilla les yeux. Des lasagnes pour le repas ? Mon plat préféré, ce soir dans mon assiette ! C'est le bonheur absolut, je suis aux anges ! Je me retourna vers les autres, passant devant eux pour remonter dans le minibus.

Kakashi : Qu'est ce qui se passe ?
Aiko : T'as vu, elle souriait.
Deidara : Pourquoi ? On dirait qu'elle à eu une bonne nouvelle, non ?
Kakashi : La seule raison pour qu'elle fasse cela c'est … (se fait couper)
Aiko : LES LASAGNES !
Kakashi : On manges des lasagnes ce soir ! Cool ! (rie)
Deidara : Ah ouai, c'est vrai, j'ai oublié que son deuxième prénom c'est Garfield. (rie)

Bon, qu'est ce qu'ils foutent ? On les attends pour partir, dépêchez-vous ! Je veux manger des lasagnes, mes lasagnes rien qu'à moi. Comme vous pouvez le remarquer, je ne suis pas patiente mais vraiment pas du tout quand c'est en rapport avec mes lasagnes.

Boubou : (gueule dans le minibus) PUTAIN ! MONTEZ VOS CULS DANS CE BUS !!!!
Aiko : (monte dans le bus) On arrive, on arrive, ne t'inquiètes pas, elles vont pas s'envoler tes lasagnes. (rie)
Boubou : (sourire sadique) A-aikoooo … (voix douce)
Kakashi : (frappe Aiko) Tu te souviens pas de la dernière fois ?
Sasori : Je comprends pas.
Deidara : En d'autre terme, Boubou devient hystérique quand on touche à son plat préféré.
Sasori : A ce point ?
Kakashi : Malheureusement, oui.
Deidara : Aiko, montres lui. (sourit)
Aiko : Mais t'es malade ! Je veux pas mourir !
Deidara : Mais aller, tu dis juste que les lasagnes sont de la merde. (rie)

Après avoir entendus cela, je me leva doucement et sans bruit de mon siège pour m'approcher de Deidara par derrière. Tout le monde me regarda sauf lui, toujours dos à moi. Puis un grand sourire sadique se dessina sur mes lèvres, révélant enfin mon caractère morbide. Je lui tapota sur l'épaule et il se retourna. Maintenant face à moi, Deidara me regarda en souriant légèrement.

Deidara : (prend peur) T-tu as entendus ?
Boubou : (sourire sadique avec une voix douce) Oui, et même très bien.
Deidara : J'aime pas quand tu es comme ça.
Boubou : Je sais mon cher ami. (sourire sadique)
Deidara : Allons n-nous assoir. (sourire gêner)
Boubou : Avec plaisir ! (grand sourire qui fait peur)

C'est avec un grand sourire que je partis me rassoir à ma place suivit de près par Deidara. Le reste de la troupe s'installèrent devant nous tout en parlant. Le minibus redémarra avec fracas. C'est vraiment insupportable de rester ici ! Et de plus Orochimaru-san est un malade en voiture, il me fait trop peur ! D'un coup, je me cramponna à Deidara tout en fermant les yeux. Mais quelque chose m'intrigua particulièrement au fond du bus. Je sais, c'est pas bien d'écouter les conversations des autres, mais que serai Boubou sans une petite rumeur.

Naruto : Qu'est ce qui se passe, Sasuke ? T'as pas l'air si heureux que ça.
Sasuke : Hm !
Sai : Euh … J-je viens de recevoir un message de Lily !!! (prend peur)
Shikamaru : Zzzz … (se réveille) Q-que quoi ?!
Naruto : Q-qu'est ce qu'elle raconte ?
Sasuke : (grand choc) Elle arrive.
Naruto : NON !
Shikamaru : Je rentre à Suna !
Naruto : E-et elle vient q-quand ?
Boubou : (à l'autre bout du bus) C'EST QUI LILY ? (sourit)
Shikamaru : Qu'est ce que ça peut te foutre ?!!
Boubou : Aller ! Je veux savoir !
Sai : Retournes à tes enfantillages !
Boubou : Qu'est ce que t'as dis le babouin ?!
Sai : Sale fouine !
Boubou : Rat dégout !
Sai : Putois des bois !
Boubou : Putois des bois ? …
Sai : Alors tu l'as ferme maintenant ! (rie)
Boubou : (explose de rire) SASORI ! On t'as appelé !!!
Deidara : C'est vrai que l'on pourrait entendre pivert des bois à la place de putois ! (explose de rire)
Aiko : (se retiens de rire) C-c'est pas drôle !
Sasori : (désespérer) Vas-y, ne te retiens surtout pas.
Aiko : Bon bah si tu le dis ! (explose de rire) Tu m'as tué Boubou ! (chiale de rire)

Tellement que nous rions, nous n'avions pas remarqué que le minibus c'était stoppé et juste devant chez nous. Nous commencions à descendre quand Ji-sama nous sauta dessus les bras grands ouverts. Quand je le vis, je me décala sur le côté pour éviter son étreinte mortelle ! Oui, elle est mortelle, j'ai faillis y passer parce qu'il me serrait trop fort contre lui. Puis le groupe des « Rasengan » descendirent aussi. C'est alors que Sasuke prit la parole.

Sasuke : Jiraya-sama, Lily arrive.
Jiraya : Miséricorde, on va tous mourir !

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Aller hop voici deux chapitres de posté, j'espère qu'ils plairont.

Attention, Lily arrive bientôt Oo