La maison de la Madone (où aucun saint ne voit le jour)

Comme toutes les maisons de passe, la maison de la Madone sentais mauvais. Pas mauvais comme un égout où comme de la saleté mais mauvais par son parfum capiteux qui se voulait enjôleur, à défaut de posséder les sens il les envahissait et paralysait le cerveau de tout ceux qui entraient dans cette antichambre du vice. La maison de la Madone n’accueillait pas beaucoup de clients et n'hébergeait qu'un petit nombre de "protégées", mes elles étaient les plus raffinées et recherchées. La perle qui poussait les clients à s'aventurer dans les bas quartier. Car si les filles y étaient des perles, les clients étaient surtout des joailliers, de très riches bourgeois, des nobles et des puissants de toutes envergures. La plupart du temps ils envoyaient les émissaires quérir les filles qu'ils convoitaient mais quand il le fallait ils se déplaçaient en personne.

Son propriétaire se faisait connaitre sous le nom de Jean De La Madone (plus connus sous le nom d'Athuro Madonnelli par la confrérie), un français affable qui n'hésitait pas à nouer le conversation avec ses clients et a leur offrir son meilleur vin, un investissement qui se révélait le plus souvent très profitable.

In vino veritam

[HRP] Petite description de la maison de passe d'Arthuro dans laquelle vont se dérouler quelques intrigues et se révéler des secrets sur les cibles à abattre.